La division "Animal dans la ville" intervient dans le cadre des pouvoirs de police du maire sur tout le territoire de la commune de Marseille, sur toute la problématique animalière pour des raisons de santé et de sécurité publique.
La surpopulation des pigeons en ville, estimée à 80 000, engendre des conséquences néfastes sur l’environnement, telles que la dégradation des infrastructures, des nuisances sonores, mais peut aussi provoquer des risques sanitaires.
Les interventions sont effectuées dans les établissements publics, les parcs, jardins et le domaine public.
La Régulation de la population des pigeons sur le territoire de la commune de Marseille est une nécessité au regard des nuisances occasionnées sur l’espace public.
Pour lutter contre cette problématique, la municipalité a lancé un Marché de Régulation de la population des Pigeons. La division "Animal dans la Ville" après enquête, valide les sites à traiter et adapte le type d’intervention.
Pour tout renseignement, contacter Allô Mairie au 3013
Téléchargez le flyer "Nourrir les pigeons : une pratique interdite"
Les pigeonniers contraceptifs permettent :
Nous comptons 8 pigeonniers dans la cité phocéenne, dans les parcs du 26e centenaire, Maison Blanche (9è), Bagatelle (8è), Puget (7è), Chanot (8è), au Jardin du Pharo (7è) et dans le parc Borély (8è).
Consultez la fiche technique des pigeonniers
La ville de Marseille soucieuse de la qualité de vie de ses administrés, lance une campagne de dissuasion contre le nourrissage de animaux.
La division "Animal dans la ville" constate une surpopulation par endroits «du fait des nourrisseurs» qui ne pensent pas mal faire en donnant à manger aux oiseaux et qui favorisent des rassemblements de plusieurs centaines de pigeons à proximité d'école, de jardin public ou de quartier tout entier.
Pourtant, l'article 120 du règlement sanitaire départemental rappelle qu'il est interdit de jeter ou déposer des graines ou nourriture en tous lieux publics pour y attirer les animaux errants, sauvages ou redevenus tels, notamment les chats ou les pigeons; la même interdiction est applicable aux voies privées, cours ou autres parties d'un immeuble lorsque cette pratique risque de constituer une gêne pour le voisinage ou d'attirer les rongeurs.